Il est encore temps de vous inscrire ! N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous, pour les adhérents, c’est gratuit !
Malgré nos multiples contributions, le ministère ne souhaite pas prendre en compte l'état catastrophique des services de néonatalogie. Pire, c'est une nouvelle dégradation des services qui se profile au vu des projets de textes proposés par le ministère.
Nous ne pouvons pas laisser passer cela, et c'est aujourd'hui qu'il faut mobiliser largement autour de nous, professionnels, parents, pour demander une vraie réforme de la néonatalogie, des conditions de travail dignes et des soins de qualité !
Vous pouvez dès à présent signer la pétition sur : http://chng.it/5hVY2vFWpC
Merci de partager largement ce lien et de diffuser, relancer, etc... pour que cette pétition soit un succès et soit entendue du gouvernement.
Communiqué
Stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance.
Les infirmières puéricultrices en première ligne
Paris, le 7 février 2020 –
Adrien Taquet, Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, place les départements et les professionnels de santé au cœur de la Stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance. Avec 30 départements pilotes et quatre engagements partagés, le Secrétaire d’Etat vise à contractualiser une véritable politique de prévention et de protection de l’enfance. L’ANPDE se félicite de ces propositions dont nombre d’entre-elles ont été soulevées dans le « livre blanc » publié par l’association en octobre 2018. Après la publication du rapport de la Députée Michèle Peyron en juin 2019, l’ambition de la Stratégie Nationale montre la volonté d’agir pour la protection de l’enfance. Parmi les engagements demandés aux départements volontaires de cette première vague de contractualisation, Adrien Taquet affiche clairement la détermination du gouvernement "d'Accélérer le virage de la prévention en protection de l’enfance", en doublant, notamment à l’horizon 2022, le nombre de « visites à domicile prénatales par les sages-femmes de PMI » et de « visites à domicile infantiles juste après l’accouchement par des infirmières puéricultrices ». La visite à domicile (VAD) est désormais bien identifiée comme le moyen le plus pertinent pour accompagner l'enfant et sa famille au sein de leur environnement, dès les premiers mois de vie. Tout en gardant le caractère universel de la PMI, cet accompagnement individualisé permet de renforcer le soutien des familles révélant des vulnérabilités. C'est en s'appuyant sur "les bonnes pratiques" des puéricultrices que cet axe doit être développé. En outre, la formation spécifique suivie par les infirmières puéricultrices lui alloue le savoir-faire et le savoir-être nécessaires dans la prévention et la protection de l’enfance. Des savoirs sur lesquels souhaite s’appuyer le Secrétaire d’Etat dans la nouvelle Stratégie Nationale de Prévention et de Protection de l’Enfance. Dans ces quatre engagements pour protéger l’enfance (Accélérer le virage de la prévention en protection de l’enfance, Sécuriser les parcours des enfants protégés et prévenir les ruptures, Donner aux enfants protégés les moyens d’agir et garantir leurs droits, Préparer l’avenir et sécuriser la vie d’adulte des enfants protégé), piliers de la Stratégie proposée par Adrien Taquet, l’infirmière puéricultrice est un maillon essentiel. A ce titre, l’ANPDE invite d’ores et déjà l’ensemble de ses délégués régionaux à se rapprocher de leur président de Conseil Départemental, afin de se positionner comme partenaires de terrain dans cet ambitieux projet pour la protection de l’enfant et l’accompagnement des parents.
A propos de l’ANPDE Créée en 1949, l’Association Nationale des Puéricultrices(teurs) Diplômé(e)s et des Etudiants (ANPDE) est l’unique association qui défend et rassemble les professionnels de la spécialité de puéricultrice. Forte de ses 2000 adhérents, elle vise à promouvoir une politique de santé ambitieuse pour les quelque 13 millions d’enfants, et à défendre leur intérêt et celui de leur famille. Elle représente les 20 000 professionnels diplômés de la spécialité et les étudiants dans les instances officielles permettant ainsi l’évolution de la profession et la reconnaissance de la plus-value de la puéricultrice. L’ANPDE contribue, en outre, au développement professionnel en organisant des formations DPC et un congrès annuel de haute valeur scientifique.
Direction générale de la santé
Paris, le 26 décembre 2019
Communiqué de presse
Bulles ou perles d’eau : Attention au danger en cas d’ingestion par des enfants !
Les autorités publiques alertent les parents et les personnes ayant la garde d’enfants sur les risques d’ingestion de billes, bulles ou perles d’eau par les enfants, en particulier en bas âge (moins de 5 ans). Ces accidents peuvent être responsables de graves conséquences, parfois mortelles.
Les perles d’eau sont des perles translucides et vivement colorées qui ont la propriété de pouvoir absorber 400 fois leur poids en eau. Elles sont généralement utilisées comme articles de décoration, notamment pour caler des fleurs coupées dans un vase. L’entourage des jeunes enfants doit être particulièrement vigilant à ce qu’ils ne puissent y accéder. Un cas mortel d’ingestion a été signalé dernièrement et plusieurs autres accidents sérieux ont été recensés, très majoritairement chez des enfants de moins de 5 ans. La Direction Générale de la Santé (DGS), la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF), l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) se rapprochent des professionnels concernés, afin d’améliorer la sécurité des produits en cause et de prévenir de tels accidents.
Les pouvoirs publics mettent aussi en garde les consommateurs à l’encontre des personnes vendant ou faisant la promotion des usages prétendument « ludiques » de ces perles d’eau, notamment sur internet. En dépit de leur aspect attrayant, ce ne sont ni des bonbons, ni des jouets, quand bien même elles seraient présentées comme tels sur le site des vendeurs ! En outre, dans le cas où des perles d’eau non conformes et dangereuses seraient identifiées comme des accessoires de jouets, ceux-ci feraient l’objet d’un retrait-rappel par la DGCCRF.
En pratique Pour trouver le Centre antipoison le plus proche : http://www.centres-antipoison.net/
En cas d’urgence, appeler le 15 ou le 112.
contact presse:
DGS : presse-dgs@sante.gouv.fr - Tél.: 01 40 56 84 00 - @AlerteSanitaire DGCCRF : communication@dgccrf.finances.gouv.fr - Tél : 01 44 97 23 91 Anses : presse@anses.fr - Tél. : 01 49 77 22 26 / 13 77 @Anses_fr ~
Des conditions toujours plus difficiles pour les étudiants IPDE
Paris, le 07 janvier 2020
Depuis plus de deux ans maintenant, la mission interministérielle portant sur l’universitarisation des professions en santé a très largement priorisée l’intégration des formations en soins infirmiers au sein de l’université, par notamment le dispositif Parcours Sup. En revanche, les dossiers relatifs à la spécialité des IPDE restent à la marge et sans aucune avancée majeure.
La réingénierie de la formation IPDE dont les travaux ont débuté il y a plus de 10 ans, et dont la énième reprise a eu lieu le 21 mars 2017, est à l’arrêt. Pourtant, l’ANPDE en collaboration avec les écoles a réalisé des maquettes de formation s’intégrant selon les impératifs universitaires et les évolutions des formations, notamment concernant la pratique avancée. Nos programmes de formation datent de 1983 ! Dans un système de santé et de formation en constante évolution, il est inconcevable de former les futures générations d’IPDE sans en adapter les formations. Ce blocage pénalise également les infirmiers qui n’ont aujourd’hui aucune possibilité d’accès à la spécialité par V.A.E. ni de reconnaissance de leur expérience acquise sur le terrain. Aussi, nous demandons urgemment une reprise de cette réingénierie.
Les étudiants IPDE à l’écart
Par ailleurs, nous attirons votre attention sur les conditions actuelles difficiles d’apprentissage des IPDE. Aujourd’hui, la qualité de vie des étudiants est une priorité et cela sans distinction d’étudiants. La création du Centre National d’Appui et les ambitieux projets en sont la traduction.
Pourtant, les étudiants IPDE souffrent encore de conditions inadmissibles s’agissant notamment pour les stages, de l’inexistence d’indemnités de stage et d’indemnité de frais kilométriques ou encore de l’exclusion des services et avantages liés aux cursus universitaires. Ajoutons à cela la prise en charge, par l’étudiant lui-même, des coûts de la formation à plus de 50%. En moyenne, les coûts pédagogiques restant à la charge de l’étudiant s’élèvent à plus de 8000 euros pour l’année, sans compter les frais de logement, de bouche, etc.... Inévitablement, les inégalités se creusent.
L’absence de réponse depuis toutes ces années sont aujourd’hui, pour les professionnels et étudiants, une marque de mépris inacceptable.
Le Président de la République, en présence d’Adrien Taquet, secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, a installé le jeudi 19 septembre après-midi un comité d’experts chargé de travailler avec l’ensemble des acteurs pour rassembler l’ensemble des connaissances et formuler des préconisations sur les politiques publiques qui peuvent être menées.
L’ANPDE a été auditionnée dans ce cadre, et publie la note de synthèse de son audition ainsi que les 10 recommandations proposées.
Communiqué
Les Infirmiers de Pratique Avancée (IPA), les Infirmiers Puériculteurs Diplômés d’Etat (IPDE), les Infirmiers de Bloc Opératoire Diplômés d’Etat (IBODE) et les Infirmiers-Anesthésistes Diplômés d’Etat (IADE) s’associent aujourd’hui afin de défendre leurs professions face à un gouvernement qui reste sourd aux revendications de chacun concernant leur exercice professionnel et leur spécificité.
Les annonces gouvernementales menacent très sérieusement l'identité de nos professions et nous questionnent sur la volonté politique de les démanteler et de restreindre leurs compétences et leurs champs d’intervention. Depuis de nombreuses années, nos professions formulent des propositions visant à repenser le cadre de l’exercice de spécialité pour répondre aux besoins d’un système de santé en tension. Ces propositions ont été systématiquement rejetées. Aujourd’hui, dans le contexte de crise hospitalière auquel il est confronté, le gouvernement réforme à marche forcée sans tenir compte des propositions et des aspirations des professionnels paramédicaux. Nos compétences acquises lors de nos formations ne sont pas reconnues, sont sous-utilisées et sous- valorisées. Nos responsabilités sont minimisées. Notre rétribution est aléatoire et non pérenne. La réingénierie de certaines formations est au point mort. Nos professions revendiquent l’ouverture de travaux concertés avec le Ministère des Solidarités et de la Santé afin de repenser nos interventions et mettre à profit nos plus-values au bénéfice des usagers et d’un système de santé aujourd’hui défaillant. Nos spécificités et nos compétences nous permettent d’assurer la qualité et la sécurité des soins à tous les patients et ce quel que soit notre domaine d’exercice. Nous souhaitons assurer des besoins de santé non couverts, au service de la population, en collaboration avec chaque corps de métier. Dès aujourd'hui, plus que jamais, nous ferons front commun pour, à l’avenir, défendre l'intérêt supérieur de nos professions et proposer des soins de qualité à la population comme elles le font depuis leur création.
Magali Delhoste Présidente UNAIBODE
Tatiana Henriot Présidente UNIPA
Charles Eury Président ANPDE
Jean Marc Serrat Président SNIA
texte ICI
Vous souhaitez participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur les différents projets et défendre votre spécialité ?
Vous êtes adhérent d’une association des puéricultrices d’Outre-Mer adhérente à l’ANPDE ?
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Le descriptif des différents postes au sein du C.A. : cliquer ici
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Postulez avant le 08 décembre 2019 !
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L’ANPDE lance un nouvel appel à candidatures pour compléter son conseil d’administration.
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Les candidatures sont closes depuis le 08/12/2019.
Communiqué de presse
PLFSS 2020
Les infirmières puéricultrices (IPDE) enfin reconnues dans leur compétence à effectuer les bilans de santé des enfants de 3 / 4 ans en PMI
Un premier pas vers une cotation des actes des puéricultrices !
Paris, le 07 novembre 2019 – L’amendement 1962 du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2020 a été adopté en 1ère lecture par l’Assemblée Nationale. Celui-ci donne la possibilité aux PMI de mettre en place des protocoles de coopération entre professionnels de santé. Par ce mécanisme, les IPDE seront enfin autorisés officiellement à effectuer les bilans de santé des enfants de 3 / 4 ans qu’ils réalisent déjà dans de nombreux départements. C’est un premier pas vers une cotation des actes des IPDE revendiquée depuis de nombreuses années par l’ANPDE. Cette cotation des actes est d’ailleurs préconisée par la Députée Michèle Peyron dans son rapport présenté le jeudi 13 juin à la Ministre de la Santé et des Solidarités et à Adrien Taquet, Secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance. Une cotation est envisagée alors que le PLFSS 2020 prévoit une mise à jour de la nomenclature des actes professionnelles via la création d’un haut conseil des nomenclatures. L’ANPDE appelle le futur Haut Conseil des Nomenclatures à se saisir de cette opportunité pour appuyer, de façon forte, une politique de prévention universelle et accessible à tous.
Assurer une couverture nationale de 100% des enfants en s’appuyant sur les infirmières puéricultrices
L’ANPDE, mobilisée et en vigilance sur les différents secteurs d’activité, notamment s’agissant des modes d’accueil, de l’hospitalier et de la PMI, se félicite de l’adoption de l’amendement 1962 du PFLSS 2020. Si la situation de l’hospitalier reste très préoccupante, certains secteurs bénéficient d’avancées encourageantes, tant pour les infirmières puéricultrices que pour l’enfant et sa famille. Le travail quotidien et la mobilisation engagés par l’ANPDE montrent aujourd’hui leurs premiers résultats concrets.
Cet amendement ouvre la possibilité aux PMI de mettre en place des protocoles de coopération entre professionnels de santé. L’objectif affiché par le gouvernement est alors de « mettre en place un protocole de coopération national entre médecins et infirmiers puériculteurs des services départementaux de PMI, notamment dans le cadre du bilan des 3 / 4 ans. » Le gouvernement indique que ce protocole « Rédigé avec les professionnels concernés et soumis à la HAS, […] déterminera les populations pouvant être incluses dans ces protocoles (cas les plus simples), les actes délégués, l’arbre décisionnel à suivre, et les éventuelles formations complémentaires nécessaires.
Le bilan de santé des enfants âgés de 3 / 4 ans est une étape essentielle pour le devenir de l’enfant. A l’aide des IPDE, l’objectif des 100% de réalisation des bilans de santé chez l’enfant, selon la loi du 26 juillet 2019, est réalisable. Les IPDE vont en effet contribuer massivement au repérage précoce des enfants nécessitant une prise en charge de soins...
Si certains départements réalisent déjà ces bilans de santé par des IPDE, la situation nationale est très hétérogène. C’est donc une étape de plus vers la reconnaissance des compétences spécifiques des puéricultrices, permise grâce au travail de la Députée Michèle Peyron et de son rapport sur la PMI.
Pour autant, l’ANPDE déplore l’obligation de passer par un protocole de coopération national et ne considère pas cette solution comme la plus idéale. Il aurait été préférable de revoir le cadre réglementaire de l’exercice des IPDE de façon plus globale. Néanmoins, ces protocoles permettront de cadrer et sécuriser une activité déjà réalisée sur le terrain par les IPDE et d’envisager les missions futures des IPDE avec plus d’ambitions. Par exemple, l’IPDE devra - dans le cadre de ce protocole - pouvoir orienter l’enfant vers un orthophoniste pour un bilan orthophonique.
Il convient désormais de s’assurer que l’objectif affiché par le gouvernement, s’agissant des IPDE (40 % des professionnels de PMI sont des IPDE) sera suivi et correspondra aux besoins du terrain. L’ANPDE reste donc mobilisée sur ce sujet.
A noter également dans le PLFSS - Protéger l’enfant en accompagnant les futures mères vers l’arrêt du tabac
Le tabac est la première cause de mortalité en France. Pire, selon l’enquête périnatale de 2016, environ 17% des femmes enceintes continuaient de fumer au troisième mois de grossesse. Pour endiguer ce fléau et accompagner les futures mamans vers l’arrêt du tabac, l’amendement 1961 prévoit que les IPDE de PMI puissent délivrer, sans avance de frais, des traitements de substitution nicotinique.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Paris, le 7 octobre 2019 –
Dégradation des conditions de travail, diminution des ratios en réanimation néonatale, risques accrus pour l’enfant et les professionnels... L’ANPDE appelle l’ensemble des infirmières puéricultrices et infirmiers puériculteurs (IPDE) du territoire à rejoindre la mobilisation initiée par le collectif inter urgences.
Les infirmier(e)s puériculteurs(trices), épuisé(e)s
Les conditions de travail en hospitalier pour les IPDE sont en constante dégradation, les grilles salariales sont indignes au regard des compétences des IPDE et de leur spécialisation de 12 mois.
Il y a peu, le 4 septembre 2019, l’ANPDE publiait les résultats d’une enquête menée auprès des professionnels des services de réanimation néonatale du territoire et alertait le ministère quant au manque de formation des infirmiers dans ces services.
L’enjeu ? La sécurité des enfants et l’accompagnement des parents. Pour autant, cette interpellation du ministère est restée sans réponse. Pire, dans le cadre du projet de réforme du décret « périnatalité » la DGOS envisage de baisser les ratios de présence des IPDE dans la composition des équipes soignantes, notamment en réanimation néonatale, en soins intensifs néonataux et en médecine néonatale.
L’ANPDE alerte ainsi sur la dégradation annoncée des conditions de travail des infirmier(e)s exerçant en néonatologie, en maternité et plus largement sur la situation dramatique des infirmier(e)s exerçant auprès de l’enfant.
Si le seul moyen de communication envisageable avec le ministère des solidarités et de la santé est la mobilisation, alors l’ANPDE appelle tous les IPDE hospitaliers à se mobiliser !
Charles Eury -Président - ANPDE
06 46 84 81 75
www.anpde.asso.fr
A propos de l’ANPDE:
Créée en 1949, l’Association Nationale des Puéricultrices(teurs) Diplômé(e)s et des Etudiants (ANPDE) est l’unique association qui défend et rassemble les professionnels de la spécialité de puéricultrice. Forte de ses 2000 adhérents, elle vise à promouvoir une politique de santé ambitieuse pour les quelque 13 millions d’enfants, et à défendre leur intérêt et celui de leur famille. Elle représente les 20 000 professionnels diplômés de la spécialité et les étudiants dans les instances officielles permettant ainsi l’évolution de la profession et la reconnaissance de la plus-value de la puéricultrice. L’ANPDE contribue, en outre, au développement professionnel en organisant des formations DPC et un congrès annuel de haute valeur scientifique.
Sébastien Devillers – Aurasi Communication
06 63 43 89 24
sdevil@aurasicommunication.com
Le gouvernement officialise la création d’une commission des « 1000 premiers jours de la vie de l’enfant ». Celle-ci est composée d’experts mais encore une fois encore le gouvernement omet de considérer l’expertise des IPDE. Pour cela, nous souhaitons alerter @Adrien TAQUET, Secrétaire d'Etat en charge de la protection de l'enfance auprès de la Ministre des Solidarités et de la Santé, car les 1000 premiers jours de la vie de l’enfant, c’est aussi le travail des infirmières puéricultrices et des infirmiers puériculteurs que nous sommes !
L’ANPDE réagit vivement et envoie une lettre à M. Taquet.
Pacte de refondation des urgences - Les enfants, les grands oubliés du projet de la Ministre !
Qui a entendu parler de l’enfant dans la crise des urgences qui frappe notre système de santé aujourd’hui ? L’#ANPDE alerte et revendique l’écoute des ses propositions
communiqué de presse
Pacte de refondation des urgences
Les enfants, les grands oubliés du projet de la Ministre
Paris, le 13 septembre 2019 – Qui a entendu parler de l’enfant dans la crise des urgences qui frappe notre système de santé aujourd’hui ? Aucune évocation de leur prise en soins n’est évoquée dans le pacte de refondation proposé par le ministère des solidarités et de la santé. L’ANPDE, qui soutient les personnels soignants des urgences dans leurs revendications, rappelle une nouvelle fois que plus de la moitié des recours aux urgences pédiatriques relèvent du conseil de puériculture. Un levier fort pour fluidifier le parcours de santé de l’enfant : encore faut-il donner suffisamment d’autonomie aux professionnels formés à ces questions.
Des pratiques innovantes sur le territoire mais sans soutien du ministère
Il y a un an, l’ANPDE proposait à la Ministre des solidarités et de la santé, 92 propositions d’évolution de la spécialité d’infirmier(e) puéricultrice(teur) pour garantir la santé des enfants. Certaines ont vocation à « désengorger » les urgences et libérer du temps médical pour garantir à tous les enfants un égal accès aux soins. Plusieurs initiatives existantes étaient mises en avant : consultation de puéricultrice à distance avec orientation, ou bien directement au sein des urgences..Ces initiatives pourraient s’intégrer dans le cadre du projet « Service d’Accès aux Soins » (SAS). Depuis, les urgences sont en alerte rouge et la Ministre ne tient pas compte des propositions faites par les professionnels paramédicaux de terrain.
Aujourd’hui, 40% des consultations pédiatriques, non programmées, ne peuvent être prises en charge par les praticiens médicaux* et une large part des consultations aux urgences pédiatriques pourraient être prises en charge par une consultation de puéricultrice. Ce sont effectivement plus de 60% des consultations aux urgences qui relèveraient de conseils de puériculture**.
Des pratiques ministérielles à proscrire
Alors que les parents sont confrontés de plus en plus tôt à des difficultés liées à la diminution des séjours en maternité, et aux difficultés d’obtenir une réponse adaptée sur le territoire, ce sont 22 000 professionnels qui peuvent proposer une réponse innovante et pertinente à ces situations récurrentes qui embolisent les services d’urgences. Dans l’ensemble des secteurs d’activité, il est possible de développer une offre de santé de proximité, notamment en libéral.
Encore faut-il donner les moyens aux professionnels de réaliser ces activités aujourd’hui mises à mal par l’absence de financements, une réglementation ancienne et archaïque, des protocoles trop contraignants et l’absence d’évolution des formations. Alors que du jour au lendemain la Ministre a créé une formation de pratique avancée devant répondre à la problématique des urgences, l’ANPDE travaille depuis 10 ans avec ce même ministère à la réingénierie de la formation des infirmières puéricultrices sans aucune avancée concrète ! Malgré les discours, l’enfant ne semble pas une priorité de notre système de santé !
Dans ses propositions, l’ANPDE revendique une offre de soins plus cohérente, notamment en ambulatoire avec un parcours de santé à plusieurs niveaux de recours pour l’enfant et sa famille. Une présence homogène d’infirmières puéricultrices est nécessaire sur le territoire national, pour offrir un égal accès aux soins pour tous et de manière immédiate sans nécessité un recours systématique aux urgences.
L’ANPDE demande à Madame la Ministre de prendre en compte la situation et les besoins spécifiques des enfants et de leurs familles dans leur rapport aux urgences pour proposer, en concertation avec les professionnels, une solution adaptée et non pas calquée sur un modèle général considérant l’enfant comme un adulte miniature.
Autant de réponses et de propositions qui ont été formulées par l’ANPDE à la Ministre pour garantir la santé des enfants : de vaines propositions ?
Paris, le 4 septembre 2019 – Une récente enquête menée par l’ANPDE auprès des professionnels de l’ensemble des services de réanimation néonatale du territoire révèle d’importantes disparités dans la formation des infirmiers. Alors qu’un infirmier sur deux n’a pas de formation initiale pour la prise en soins de l’enfant, seuls 20% des services proposent une formation complémentaire en interne. L’ANPDE dévoile les résultats de son enquête à l’occasion des Universités d’été de la Fédération Hospitalière de France (FHF) consacrées à l’accueil de l’enfant à l’hôpital.
L’objectif de la communication orale en session parallèle lors des 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices, organisées par l’ANPDE, est de promouvoir des travaux de recherche individuels ou d’équipe, concernant un thème lié à une pratique ou à une activité de la profession de puéricultrice.
La communication proposée doit être structurée selon le plan suivant :
Contexte - Objectif du projet - Méthode du projet - Résultats - Discussion - Conclusion
La présentation orale ne devra pas dépasser 20 minutes et sera présentée parallèlement aux conférences plénières. Un modérateur sera chargé de faire respecter le temps. Un échange d’environ 10 minutes avec les participants aura lieu à la fin de la présentation.
A titre d’exemples, des présentations des années passées :
Des travaux de recherche universitaire, dans le cadre d’un Master ou d’un Doctorat
Des travaux réalisés dans le cadre de la formation de puéricultrice (action d’information et d’éducation à la santé, projet professionnel ou résolution de problème de soins)
Des projets d’équipes pluridisciplinaires
Des actions d’analyse de pratiques professionnelles (ex : certification, audits, EPP…)
Lorsqu’un auteur ou un groupe d’auteurs présentent une proposition de communication orale en session parallèle, il(s) s’engage(nt) à s’inscrire aux 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices, avant le 15 avril 2020. Au-delà de ce délai, la communication orale sera déprogrammée du congrès.
L’ANPDE précise que le repas du midi sera pris en charge par l’association le jour de l’intervention. Aucun autre frais (hôtelier, déplacements,) ne pourra être pris en charge. Le ou les auteur(s) doivent s’organiser au préalable pour couvrir les frais liés à la participation au congrès, qui leur permettra une visibilité scientifique reconnue.
PROCÉDURE DE PRÉSENTATION ET DE SÉLECTION DES RÉSUMÉS
Télécharger et remplir le document intitulé : « Appel à communication orale en session parallèle ANNEXE »
Adresser le document par mail, avant le 22 novembre 2019 , au format Word, à l’adresse : conseil-scientifique@anpde.asso.fr
Le conseil scientifique de l’ANPDE évaluera les propositions de communication
Une notification d’acceptation, de demande de précisions ou de modifications ou de refus sera adressée à tous les auteurs de proposition de communication.
Envoyer votre diaporama par mail au plus tard le 31 mai 2020.
Vous pouvez également télécharger cet appel à communication en cliquant ici.
Critères d’évaluation : intérêt professionnel, intérêt multidisciplinaire, intérêt scientifique, objectif(s), méthode, résultats pour les enfants, leur famille et/ou la population, forme.
DROITS DE PUBLICATION
Les intervenants sélectionnés cèdent explicitement leurs droits d’utilisation de leur abstract et de leur diaporama à l’ANPDE pour ses publications papiers ou électroniques en lien avec les 44èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices.
Il pourra vous être proposé la rédaction d’un article plus long pour une publication dans les Cahiers de la Puéricultrice, après avis du comité de rédaction de la revue.
L’objectif des ateliers lors des 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices, organisées par l’ANPDE, est de proposer aux participants du congrès un approfondissement théorique et/ou pratique sur un thème particulier en lien avec l’exercice de l’infirmière puéricultrice. Ces ateliers ont vocation à favoriser les échanges avec les participants (20 personnes environ) et ont une durée de 3 heures comprenant 30 minutes de pause.
A titre d’exemples, voici quelques thèmes d'ateliers des congrès précédents :
Accompagner le démarrage de l'allaitement maternel
Positionnement et éveil sensoriel du prématuré
Professionnalisation des assistantes maternelles
Les possibilités d'exercice en ville pour les puéricultrices
Accueil d'un enfant en situation de handicap en EAJE : pourquoi et comment ?
Lorsque votre proposition d’atelier est retenue, et ce, même si cette proposition indique plusieurs auteurs, l’ANPDE prend en charge :
- Une inscription gratuite pour les 45 èmes Journées Nationales d’Etudes pour 1 personne
- Une nuit d’hébergement pour 1 personne
- Les frais de transport pour 1 personne tarif SNCF seconde classe (1)
- Les repas pour la journée pour les animateurs de l’atelier.
PROCÉDURE DE PRÉSENTATION ET DE SÉLECTION DES RÉSUMÉS
Télécharger et remplir le document intitulé « Appel à communication ateliers JNE 2020 ANNEXE 1 »
Adresser le document par mail, avant le 22 novembre 2019 ,au format Word, à l’adresse : conseil-scientifique@anpde.asso.fr
Le conseil scientifique de l’ANPDE évaluera les propositions d’ateliers
Une notification d’acceptation, de demande de précisions ou de modifications ou de refus sera adressée à tous les auteurs de proposition de communication fin janvier 2020.
Vous pouvez également télécharger cet appel à communication en atelier en cliquant ici.
Critères d’évaluation : intérêt professionnel, intérêt multidisciplinaire, intérêt scientifique, objectif(s), méthode, résultats pour les enfants, leur famille et/ou la population, forme.
DROITS DE PUBLICATION
Les intervenants sélectionnés cèdent explicitement leurs droits d’utilisation de leur abstract à l’ANPDE pour ses publications papiers ou électroniques en lien avec les 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices.
(1) Pour des personnes ou équipes extérieures à la France souhaitant proposer un atelier, la prise en charge des frais s’effectue uniquement pour les déplacements effectués sur le territoire français (non prise en charge du billet d’avion depuis le pays d’origine)
L’objectif de la communication par poster lors des 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices, organisées par l’ANPDE, est de promouvoir des travaux de recherche individuels ou d’équipe, concernant un thème lié à une pratique ou à une activité de la profession de puéricultrice.
A titre d’exemples, il donne la possibilité de présenter :
Des travaux de recherche universitaire, dans le cadre d’un Master ou d’un Doctorat
Des projets d’équipes pluridisciplinaires
Des actions d’analyse de pratiques professionnelles (ex : certification, audits, EPP…)
Le poster devra être imprimé par vos soins et répondre aux normes de présentation des posters scientifiques. Vous pouvez consulter à ce titre les normes de présentation établies par l’Académie des Sciences Infirmières (cf. Annexe 2).
Lorsqu’un auteur ou un groupe d’auteurs présentent une proposition de communication par poster, il(s) s’engage(nt) à s’inscrire aux 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices et à être présent, afin de présenter son travail au jury, ainsi que lors de la présentation et remise des prix en plénière.
L’ANPDE précise qu’aucun frais (inscription, hôtelier, déplacements, impression et/ou acheminement de poster) ne sera pris en charge. Le ou les auteur(s) doivent s’organiser au préalable pour couvrir les frais liés à la participation au congrès, qui leur permettra une visibilité scientifique.
PROCÉDURE DE PRÉSENTATION ET DE SÉLECTION DES RÉSUMÉS
Adresser ce document par mail, avant le 31 janvier 2020, au format Word, à l’adresse : conseil-scientifique@anpde.asso.fr
Prolongation exceptionnelle jusqu’au 29 mars 2020 !
Le conseil scientifique de l’ANPDE évaluera les propositions de communication
Une notification d’acceptation, de demande de précisions ou de modifications ou de refus sera adressée à tous les auteurs de proposition de communication fin mars
Si votre candidature est retenue, envoyer si possible le poster par mail en même temps que le document, sinon au plus tard le 31 mai 2020
Vous pouvez également télécharger cet appel à communication par poster scientifique en cliquant ici.
Critères d’évaluation : intérêt professionnel, intérêt multidisciplinaire, intérêt scientifique, objectif(s), méthode, résultats pour les enfants, leur famille et/ou la population, forme (Cf annexe 2).
PRIX DU MEILLEUR POSTER
Un jury évaluera les posters qui seront affichés pendant les 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices, ainsi que la qualité des échanges avec les auteurs durant un temps dédié du congrès. A l’issue de cette évaluation, deux prix seront décernés : le prix du conseil scientifique et le prix du public.
DROITS DE PUBLICATION
Les intervenants sélectionnés cèdent explicitement leurs droits d’utilisation de leur abstract à l’ANPDE pour ses publications papiers ou électroniques en lien avec les 45 èmes Journées Nationales d’Etudes des Puéricultrices. L’utilisation du logo ANPDE est réservée à l’association et est soumise à autorisation préalable.
Vous souhaitez participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur les différents projets et défendre votre spécialité ?
L’ANPDE lance un nouvel appel à candidatures pour compléter son conseil d’administration.
Le descriptif des différents postes au sein du C.A. : cliquer ici
Les postes disponibles et modalités pour candidater : cliquer ici
Bulletin de candidature : cliquer ici
Les candidatures sont à envoyer à : secretariat.general@anpde.asso.fr