Les membres de la commission des infirmières/iers puéricultrices/teurs de ville de l'association vous proposent un webinaire en direct, le jeudi 21 octobre à 21h, sur le thème des différentes possibilités d'exercice de la #puéricultrice ou du #puériculteur en ville.
Comment construire son projet en fonction de sa situation ? Quelles sont les obligations et les démarches administratives ? Quels sont les statuts possibles ?
Inscriptions gratuites pour les adhérent.e.s par mail : secretariat@anpde.asso.fr
Pour les autres par ce lien ⤵️
https://lnkd.in/dbGmiK5F
#ANPDE #IPDE #liberal #associatif #salariat #cooperation #webinaire
Les ARS et les DREETS lancent les appels à projets en lien avec la feuille de route gouvernementale de la politique des 1000 premiers jours de l'enfant.
Les projets devront participer au développements d'actions en promotion de la santé pour les femmes enceintes, les jeunes parents et les enfants en réponse à des besoins identifiés comme l'alimentation, le sommeil, la vaccination, l'environnement ...
Les projets doivent être portés par des structures et être pluriprofessionnels.
Nous savons que ce sont ces projets locaux ou régionaux qui peuvent faire bouger les lignes, en étant ensuite déployés sur l'ensemble du territoire national.
Il est important pour la visibilité de la profession que les puéricultrices/teurs y prennent part. Ils représentent un levier essentiel vers davantage d'autonomie et de reconnaissance de nos compétences.
Les puéricultrices/teurs y sont cités et ont toute leur place, en lien avec les autres professionnels de la petite enfance.
Renseignez vous rapidement sur le site de l'ARS de votre région.
Les dates de remise de dossier sont très courtes.
L’avenir de la profession est entre vos mains, saisissez-vous de chaque opportunité!
Quelques adresses:
Bretagne:
https://www.bretagne.ars.sante.fr/appel-projets-1000-premiers-jours-en-bretagne-initiatives-en-faveur-de-la-sante-du-jeune-enfant-et
Normandie:
https://www.normandie.ars.sante.fr/appel-projet-conjoint-les-1000-premiers-jours-de-lenfant-lance-par-lars-et-la-dreets-de-normandie
Martinique:
https://www.martinique.ars.sante.fr/appel-projets-1000-premiers-jours
Centre Val de Loire
https://www.centre-val-de-loire.ars.sante.fr/appel-projets-commun-arsdreets-1-000-premiers-jours-en-centre-val-de-loire
https://pays-de-la-loire.dreets.gouv.fr/Save-the-date-appel-a-projets-1000-premiers-jours-de-l-enfant
Paris, le 22 juin 2021 – Le 4 mai 2020, par communiqué, l’ANPDE répondait déjà aux inquiétudes formalisées par La Haute Autorité de santé, l’Académie de Médecine et Santé Publique France sur la diminution significative de couverture vaccinale des enfants durant la période de confinement national. Aujourd’hui, c’est au tour des Députés et notamment de la Commission des Affaires Sociales de relancer la dynamique objectivée d’atteindre un taux de couverture vaccinale de 95 %.
Les IPDE, une solution pragmatique et réaliste
Pour répondre à cette problématique, les Députés préconisent de reprendre au plus vite les travaux de la Haute Autorité de Santé (HAS) sur "l’extension des compétences vaccinales des professionnels de santé, et notamment des sages-femmes".
Si L’ANPDE se félicite de cette volonté de garantir la couverture vaccinale, elle regrette amèrement que les puéricultrices n’aient pas été identifiées pour ce projet. Elle rappelle encore une fois que la solution réside également dans le savoir-faire des IPDE. En outre, l’ANPDE précise que les IPDE possèdent toutes les compétences permettant de réaliser les actes vaccinaux, et ainsi venir en renfort des médecins pour réguler plus efficacement ces retards.
L’expérience de la crise
Les IPDE sont actuellement mobilisées dans le cadre de la vaccination pour lutter contre la pandémie. « Suite à une évaluation de l’état de santé de l’enfant permettant de repérer les situations de contres indications, il est grand temps de donner l’accès aux enfants de 0 à 18 ans à la vaccination avec une prise en charge de la douleur » précise Brigitte Prévost-Meslet, Présidente de l’ANPDE.
Un double objectif
La vaccination réalisée par les IPDE sert un double objectif selon l’ANPDE qui voit dans cette démarche, l’atteinte de l’objectif des 95%. Elle permet également, pour la puéricultrice une rencontre avec l’enfant et sa famille. Ce premier contact permet très souvent d’établir un premier bilan de santé.
Un enjeu de santé publique, un enjeu économique
Le recours aux compétences des infirmier(e)s puéricultrices(teurs) permet de réduire le temps d'attente pour la réalisation des vaccinations, d'apporter un soutien aux médecins, et de limiter le risque pour la population infantile d’une recrudescence de cas de rougeole et d’infections bactériennes.
Pourquoi aujourd’hui ne pas mettre toutes les chances du bon côté pour éviter toute nouvelle problématique sanitaire et enfin utiliser toutes les compétences disponibles. Une solution réitérée par l’ANPDE.
Brigitte Prévost Meslet -Présidente- ANPDE
Sébastien Devillers – Aurasi Communication
06 63 43 89 24
sdevil@aurasicommunication.com
A lire !!!! 185 pages…
Commencez par la synthèse de 12 pages ….
L'Inspection Generale des Affaires Sociales IGAS publie son rapport "La pédiatrie et l’organisation des soins de santé de l’enfant en France", pour lequel l’ANPDE a été auditionnée ainsi que le Collège des Infirmièr(e)s Puéricultrices(teurs)
Cette année la crise sanitaire COVID nous contraint à nous réunir entre professionnels d’une manière différente, les Journées Nationales d’Etudes des puéricultrices (teurs) se tiendront les 16, 17 et 18 juin 2021 en digital
Vous êtes étudiant(e)s en école de puériculture et vous souhaitez participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur différents projets et défendre votre future spécialité ?
L’ANPDE lance un appel à candidatures pour 2 représentants étudiants ( et 2 suppléants) pour le conseil d’administration et des étudiants représentants leur école afin de participer à la commission étudiante de l’association.
Lettre aux étudiant(e)s : cliquer ici
Descriptif et Bulletin de candidature représentants étudiant : cliquer ici
Descriptif et Bulletin de candidature pour la commission étudiante : cliquer ici
Les candidatures sont à envoyer à : etudiants@anpde.asso.fr
Il est encore temps…
Postulez avant le 25 mars 2021 !
Paris, le 8 mars 2021 – Très attendue par l’ANPDE et les professionnels de la petite enfance, la réforme du cadre normatif des modes d’accueil du jeune enfant de la loi ASAP, qui entrera pour la grande majorité en vigueur en septembre 2021, aura nécessité deux années de travail et de concertation. L’ANPDE, qui a activement participé aux travaux se félicite des avancées réalisées ou en tous les cas du sentiment de vouloir avancer ! Certains aspects, à l’image de la prise en compte des difficultés des assistants maternels (AM) dans leur quotidien professionnel, le contrôle des antécédents judiciaires pour tous les professionnels de l’accueil du jeune enfant, l’administration des médicaments par ces professionnels, l’analyse des pratiques ou encore l’intervention de référent santé sont des atouts supplémentaires pour sécuriser l’accueil de l’enfant.
Si la volonté de « changer la vie des enfants et des professionnels » pour le gouvernement semble réelle dans les idées, l’ANPDE déplore que les ambitions affichées ne soient pas suivies des moyens permettant de mener les actions envisagées. En outre, l’ANPDE alerte sur des critères à risque pour la qualité d’accueil réservée aux enfants.
La quantité au détriment de la qualité
Une loi pour garantir les meilleures conditions d’accueil des enfants, de service rendu aux parents ? Une loi visant, comme inscrit dans la charte nationale de qualité d’accueil du jeune enfant, établie en 2017 à favoriser la découverte de la nature, l’éveil artistique et culturel dès le plus jeune âge… Ou une simple loi visant à augmenter les capacités d’accueil ? En lisant entre les « articles », 85 au total, la nuance peut paraître infime. D’ailleurs, un certain nombre de préconisations émises dans le rapport des 1000 premiers jours n’ont pas été suivi dans cette nouvelle loi.
Les assistants maternels et la qualité d’accueil
Pour permettre notamment aux assistants maternels (AM) de se libérer du temps de formation, tout en étant remplacés par un pair pour l’accueil des enfants dont ils ont la responsabilité, ou pour servir l’objectif d’augmenter le nombre de places d’accueil, la nouvelle loi prévoit un doublement des capacités d’accueil des AM passant ainsi de 4 à 6 voire 8 ! Si les formations sont bénéfiques aux pratiques professionnelles des AM, elles sont au détriment de l’enfant, ainsi accueilli en surnombre. In fine, cette évolution sert plus la cause de la création de places que celle de la formation visant la professionnalisation des AM. Rappelons la position du HCFEA (Haut Conseil de la famille, de l’enfance, et de l’âge) « Les assouplissements concernant en particulier le nombre d’enfants exceptionnellement accueillis par les assistants maternels en plus de leur agrément ne doivent pas entraîner un élargissement pérenne de la norme d’accueil, ni dépasser six enfants de moins de onze ans à la charge exclusive d’un adulte, y compris ses propres enfants. »
Micro crèches et réalités économiques
La France souffre d’un déficit important de places d’accueil. Pour répondre à ce déficit, l’ouverture de micro crèches privées en tarification PAJE (Prestation d’Accueil du Jeune Enfant) se multiplie. Cependant, dans ces structures, il n’y a pas d’obligation d’avoir la présence d’un éducateur de jeune enfant. La présence du référent technique (responsable de la structure) n’est préconisée que 7 heures par semaine. Cette faible quotité permet au référent technique de multiplier ses missions sur plusieurs sites, laissant ainsi les structures sans manager. Une telle vision entrepreneuriale et économique ne peut être associée à la volonté de qualité d’accueil de l’enfant souhaitée par la nouvelle loi. Il est dommageable, sous le prétexte que les micro crèches accueillent moins d’enfants, que des personnels soient moins qualifiés que dans les autres structures d’accueil . En outre, ce mode d’accueil exclut la mixité sociale et est inaccessible aux parents en situation de précarité. Cette logique est contraire aux préconisations du « rapport des 1000 premiers jours » et aux recommandations du HCFEA précisant « les conditions de réussite d’une telle ambition, en termes d’implantation sur les territoires, de mixité sociale, d’inclusion, donc de professionnalisation, de meilleure participation des familles et des associations, et de montée en qualité des services, structures et actions ».
Référent santé et qualification des professionnels
La mission de référent santé octroyée, entre autres, à l’infirmière puéricultrice est une véritable plus-value sur de nombreux points et notamment s’agissant de l’inclusion d’enfants porteurs de handicaps ou de maladies chroniques. En outre, elle favorise l’accueil de tous les enfants, sécurise les professionnels dans leurs pratiques et permet un meilleur accompagnement des professionnels, des enfants et de leurs familles. Si le projet est une plus-value, le nombre d’heures allouées à la mission par trimestre ne permet pas sa réalisation. L’ANPDE, lors des groupes de travail diligentés par le ministère des solidarités et de la santé, avait préconisé un quota d’heures*.
Autre source d’inquiétude pour l’ANPDE, les probables professionnels pouvant exercer cette fonction de référent santé. Il est en effet prévu de permettre aux infirmiers ayant 3 années d’expérience en modes d’accueil de pouvoir exercer cette fonction ! Or, 3 ans d’expérience en dehors de toute formation pour assurer une démarche réflexive, ne garantit pas un niveau d’exigence de compétences suffisant. Par ailleurs, l’ANPDE rappelle que la formation infirmière (programme de 2009) n’offre plus de contenu pédagogique sur le jeune enfant. Rappelons également, qu’un infirmier disposant d’un diplôme universitaire ou d’un diplôme interuniversitaire en matière de santé du jeune enfant n’existe pas ! La seule formation spécifique infirmière est celle certifiée par le diplôme d’Etat de puéricultrice, spécialité accessible après les trois années de formation en soins infirmiers.
De nouveau, si les ambitions affichées à travers les missions du référent santé sont les bonnes, il est de nouveau regrettable qu’elles ne soient pas suivies des moyens nécessaires.
Les Maisons d’Assistants Maternels (MAM)
Les MAM sont des sites où des assistants maternels mutualisent les ressources et les coûts de fonctionnement pour accueillir les enfants. Pour autant, ces lieux échappent à un certain nombre d’obligations réglementaires et ne sont soumis, à ce jour, à aucun référentiel bâtimentaire national. Rappelons que les professionnels exerçant au sein de ces structures sont peu formés, et ne bénéficient pas de notions administratives et de management. La multiplication de ces différentes missions pour ces professionnels peut les éloigner de leur mission d’AM. Malgré ces contraintes exprimées par l’ANPDE lors des groupes de travail, la loi prévoit néanmoins d’offrir la possibilité pour les MAM d’accueillir 20 enfants au lieu des 16 aujourd’hui, un frein à la qualité de l’accueil du jeune enfant.
Le gouvernement souhaite à travers cette loi favoriser l’augmentation des places d’accueil tout en garantissant la sécurisation et la qualité de l’accueil. Ces deux principes semblent difficilement compatibles au regard de la réforme du cadre normatif des modes d’accueil du jeune enfant.
*14h/an pour une micro-crèche soit une vraie demi-journée par trimestre (pour 10h/an dans la loi)
28h/an pour les petites crèches soit une vraie journée par trimestre (20h/an dans la loi)
44h/an pour les crèches soit une vraie journée et demie par trimestre (30h/an dans la loi)
56h/an pour les grandes crèches soit deux journées par trimestre (40h/an dans la loi)
70h/an pour les très grandes crèches soit deux journées et demie par trimestre complétée par 10h par tranches supplémentaires de 20
enfants (50h/an dans la loi)
Brigitte Prévost – Meslet
Présidente ANPDE
Sébastien Devillers – Aurasi Communication
06 63 43 89 24
sdevil@aurasicommunication.com
Paris, le 23 février 2021 – L’intervention du Professeur Claris lors de sa prise de parole au Sénat le 03 février dernier, dans le cadre de la commission sur la gouvernance et la simplification hospitalières, n’aura pas manqué de faire réagir l’ANPDE et l’ensemble de la profession tant les propos tenus sont irrespectueux à l’endroit des Infirmières(iers) Puéricultrices(teurs) Diplômé(e)s d’État (IDPE) et de leurs compétences. Des propos qui semblent tout droit sortis d’une époque que l’histoire récente de notre système de santé semblait nous faire croire comme révolu. Un raisonnement qui considère que les qualités personnelles sont plus importantes que les compétences spécifiques acquises lors de la formation et leurs reconnaissances à travers la validation d’un diplôme ! Une vision dépassée qui ne permettra jamais de rendre plus efficient notre système de santé.
Une profession sidérée…
Le 3 février, en séance publique au Sénat, le Pr Claris s’exprimait sur la présence d’IPDE dans les services de néonatalogie en ces termes « Je travaille en pédiatrie : j'ai des infirmières et des infirmières puéricultrices. Je pense que la qualité de la personne est plus importante que son titre ou son diplôme. […] En réanimation néonatale et en réanimation pédiatrique, il n'y a pas de plus-value, sauf sur certains points, mais une infirmière compétente peut aussi convenir ». Les infirmières puéricultrices souhaitent exprimer leur profond désaccord sur ces propos qui ternissent l’image d’une spécialité mais plus largement de la profession infirmière.
Non, les compétences infirmières ne se limitent pas aux qualités personnelles !
Oui, les diplômes et compétences acquises en formation ont leur importance ! Le temps des nonnes est révolu !
Non, nous ne sommes pas VOS infirmières ! « j’ai des infirmières et des infirmières puéricultrices» traduit clairement une vision archaïque de notre profession.
Nous invitons le Pr. Claris à découvrir le contenu de la formation IPDE. Celui-ci traite en effet pour une grande partie de l’année, de la néonatalogie.
Aujourd’hui, nous sommes limités par un champ de compétences réglementaire ne correspondant plus au contenu de notre formation et à la réalité du terrain. Pour cela, nous revendiquons depuis plus de 10 ans, une réforme qui n’est toujours pas à l’ordre des priorités gouvernementales.
Rappelons que la spécialisation permet d’acquérir de nombreuses connaissances et compétences sur la prise en soin d’un enfant, qui ne se limitent pas à « la qualité humaine ».
A quand les médecins généralistes en service de réanimation néonatale et pédiatrique ?
Si « la qualité de la personne est plus importante que son titre ou son diplôme, » pourquoi ne pas prendre des médecins généralistes en service de réanimation néonatale et pédiatrique ? Devrions-nous recruter les néonatologistes sur un test de personnalité ? Si la question se pose pour les infirmiers, cela dénote une vision de petites mains exécutrices, bien loin de la réalité.
M. Olivier Véran, de nouveau au Sénat le 17 février, déclarait en comparant infirmiers spécialisés et de pratique avancée : « Les infirmiers spécialisés, eux, sont organisés par spécialité médicale comme les IBODE, les IADE, etc… […] Les infirmiers de pratique avancée ont vocation à avoir des missions qui sont transversales, consultation, interventions dans des structures très variées, qui ne sont pas directement liées à une spécialité médicale ». Nous déplorons que la seule spécialité qui n’est pas citée est la nôtre.
Cette définition des infirmiers spécialisés est réductrice. Ces deux discours à quelques jours d’intervalles sont révélateurs d’une vision erronée de notre spécialité. Nous devons avancer ensemble plutôt que d’opposer infirmiers, infirmiers spécialisés, pratique avancée, et surtout reconnaître les compétences professionnelles.
Le Défenseur des droits en 2017 puis la FHF en 2019 demandaient plus de professionnels spécialisés auprès de l’enfant, en particulier des IPDE. Reconnaissez enfin, à leur juste titre, nos compétences cliniques, techniques et relationnelles afin d’améliorer la qualité des soins apportés aux enfants.
Plus proche de nous, la crise sanitaire a révélé de manière criante l'importance de l'expertise et de la formation dans la gestion des situations complexes. Le rapport d’information « relatif à l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19 » met en lumière les difficultés structurelles de personnels soignants. Selon le rapport, le déficit de personnels compétents « traduit les orientations des politiques de recrutement et de formation »*.
Un constat très largement exprimé depuis de nombreuses années par l’ensemble de la profession. Pour éviter de renouveler les erreurs du passé, il serait pertinent que certains l’entendent !
*Page 181 du « relatif à l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19 »
Brigitte Prévost – Meslet –
Présidente ANPDE
Sébastien Devillers – Aurasi Communication
06 63 43 89 24
sdevil@aurasicommunication.com
Vidéo de la présidente Brigitte Prevost Meslet⤵️
.VOEUX ANPDE 2021 - YouTube
Vous souhaitez participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur les différents projets et défendre votre spécialité ?
L’ANPDE lance un nouvel appel à candidatures du 07 janvier 2021 au 2O janvier 2021 pour compléter son conseil d’administration pour :
2 postes d’administrateurs
2 postes de “Délégué Régional” qui sont à pouvoir pour les adhérents :
des Hauts de France ( 02- 59- 60- 62-80)
de Grand Est (Dép. 08-10-51-52-54-55-57-67-68-88)
Les élections qui se dérouleront par voie électronique du 06 février au 19 février 2021 .
Le descriptif du poste d’administrateur : ici.
Le descriptif du poste de Délégué Régional. : ici
Les postes disponibles et modalités pour candidater : ici
Bulletin de candidature : ici
Les candidatures sont à envoyer à : secretariat.general@anpde.asso.fr
La secrétaire générale reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Postulez avant le 20 janvier 2021 !
appel à Candidatures clôturé
Vous êtes IPDE en libéral ou en indépendant, vous souhaitez faire évoluer votre profession, l’ANPDE vous donne la parole.
A travers le questionnaire, l’ANPDE (Association Nationale des Puéricultrices(teurs) Diplômées et des Étudiants) s’engage dans l’analyse des pratiques des infirmièr.e.s puéricult.rice.eur.s qui exercent en indépendant.e.s.
Notre volonté est également de répertorier les différentes modalités d’installation et d’exercice.
Cinq minutes vous suffiront à y répondre, les données resteront strictement confidentielles, nous garantissons donc la préservation de votre anonymat.
Les résultats de l’enquête vous seront communiqués.
Cher(ère) adhérent(e),
La prochaine Assemblée Générale Ordinaire de l'ANPDE se tiendra par visioconférence le :
samedi 12 décembre 2020 à 10h00
retrouver ici :
Les infirmières/iers puéricultrices/teurs, les étudiants, les grands oubliés, des conditions toujours plus difficiles pour les étudiants en puériculture
Paris le 16 novembre 2020.
Déclaration liminaire
Au plus fort de la crise, nous sommes de nouveau confrontés à une problématique humaine en forte tension dans les établissements de santé. Celle-ci contraint une gestion complexe des étudiants et notamment les étudiantes Infirmières (iers) Puéricultrices(teurs) Diplômées (és) d’Etat (IPDE). Elle interroge quant à la continuité de formation des étudiant.e.s et in fine leur diplomation. Nous sommes aujourd’hui sollicités par un grand nombre d’étudiant.e.s en formation puéricultrice.teur qui sont appelés en renfort des personnels soignants, et pour qui, la formation est à l’arrêt.
Aussi, et par cette déclaration, nous souhaitons alerter sur le problème d’équité du suivi des formations dans les écoles de puériculture à l’échelle nationale, afin de garantir des éléments de réponses communs à tous les étudiant.e.s qui se trouvent aujourd’hui dans des situations hétérogènes selon les régions.
Chacun d’entre nous, et à fortiori les étudiant.e.s, comprenons la nécessité de renforcer les équipes dans les établissements. Nous aimerions, cependant, que ce renfort soit organisé nationalement afin d’éviter de mettre en difficulté les étudiant.e.s sur certains territoires.
De fait, nous souhaitons :
Proposer la mise en place d'un cadrage national s’agissant des contrats en CDD et de leur rémunération. Nous souhaitons aussi remettre en question la légitimité de ces CDD comme « validant » une période de stage, sachant que ces vacations sont réalisées en service adultes pour des étudiant.e.s infirmier.e.s, censé.e.s se spécialiser en pédiatrie.
Garantir une organisation qui permettra d’optimiser l’utilisation des compétences des puéricultrices de manière efficiente. En outre, les professionnels spécialisés en puériculture doivent être priorisés dans les secteurs de l’enfance et de la jeunesse.
Par ailleurs, nous rappelons également que lors de la première vague comme pour la deuxième vague de la pandémie, de très nombreux IPDE se sont portés volontaires pour réintégrer l’hôpital et renforcer les équipes hospitalières.
Le site « renfort solidarité » du Ministère des Solidarités et de la Santé invite à s’inscrire dans cette démarche citoyenne de renfort. Cependant, il nous est impossible de nous inscrire car notre profession n’est pas référencée dans la liste des professionnels de santé. Au-delà de ce que nous pourrions considérer comme un oubli involontaire, malgré tout maladroit, il exprime néanmoins la considération portée à l’endroit des quelque 21 000 IPDE qui exercent au quotidien pour la santé et les soins aux enfants ainsi que l’accompagnement des parents.
Au-delà du manque de considération à l’égard de notre métier, de cette absence de reconnaissance de nos compétences et de notre expertise dans le rapport des 1000 premiers jours, cette omission est inacceptable et condamnée par les IPDE.
pour les adhérents, merci de trouver ci-joint la convocation pour l’assemblée générale ordinaire
Annulation des Journées Nationales d’Études des puéricultrices et puériculteurs 2020 de l’ANPDE
Paris, le 25 octobre 2020 – L’évolution rapide de la pandémie sur l’ensemble du territoire national nous oblige aujourd’hui à annuler la 45ème édition des Journées Nationales d’Études de l’ANPDE qui devait se dérouler à Lille du 12 au 14 novembre prochain.
La situation sanitaire s’est considérablement dégradée dans le département du Nord qui est considéré zone de circulation active du virus. La métropole Lilloise est quant à elle, placée en zone d’alerte maximale. Les indicateurs épidémiologiques se dégradent de jour en jour et l’évolution est très préoccupante.
Face à ces éléments sanitaires en constante évolution, il est de notre devoir de de prendre la difficile décision d’annuler l’édition 2020 des Journées Nationales d’Études.
En tant que professionnels de santé, nous ne pouvons-nous autoriser à mobiliser un nombre important de personnels soignants hors de leur département, alors que les plans blancs se multiplient. Rassembler sur un même site autant de personnes dans un secteur placé en alerte maximale serait faire preuve d’irresponsabilité.
Toutes les informations complémentaires s’agissant de l’annulation seront prochainement disponibles sur le site de l’ANPDE et www.cerc-congres.com
Brigitte Prévost – Meslet – Présidente ANPDE
Sébastien Devillers – Aurasi communication
06 63 43 89 24
Vous souhaitez participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur les différents projets et défendre votre spécialité ?
L’ANPDE lance un nouvel appel à candidatures du 12 octobre au 1 er novembre 2020 pour compléter son conseil d’administration pour
2 postes de “Délégué Régional” qui sont à pouvoir pour les adhérents :
des Hauts de France ( 02- 59- 60- 62-80)
de Midi-Pyrénées ( 09-12-31-46- 65-82)
Les élections qui se dérouleront par voie électronique du 09 novembre au 22 novembre 2020 .
Le descriptif du poste de Délégué Régional. : ici
Les postes disponibles et modalités pour candidater : ici
Bulletin de candidature : ici
Les candidatures sont à envoyer à : secretariat.general@anpde.asso.fr
La secrétaire générale reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Postulez avant le 01 novembre 2020!
Paris, le 5 octobre 2020 – Vendredi 2 octobre 2020, se réunissait le Conseil d’Administration de l’ANPDE pour l’élection de la nouvelle présidence. Brigitte Prévost - Meslet a été élue présidente. Elle remercie chaleureusement ses prédécesseurs et souhaite assurer la continuité du travail engagé.
Au sein de l’ANPDE
Elue administratrice depuis plusieurs années, elle occupait au sein du bureau, le poste de secrétaire générale adjointe. Elle était membre actif de la commission PMI, puis elle a été à l’initiative de la création et responsable de la commission protection de l’enfance de l’association depuis janvier 2020. Conjointement, elle a participé à l’élaboration et la rédaction du livre blanc de l’ANPDE pour l’évolution de la spécialité.
Une feuille de route
Les principaux objectifs affichés par la nouvelle présidente sont d’assurer, une articulation efficiente avec le nouveau Collège des infirmières/ers Puéricultrices/teurs, garantir un travail collaboratif avec tous les partenaires institutionnels et intervenants dans le domaine de l’enfance. Il s’agit également de poursuivre les travaux engagés par l’association et tous les membres élus, s’agissant de la réingénierie de la formation, de continuer à valoriser les compétences et le savoir-faire de la puéricultrice pour l’enfant et sa famille.
« Je souhaite aussi placer les adhérents et futurs adhérents au cœur de nos préoccupations pour leur assurer un partage des pratiques professionnelles et une véritable reconnaissance de nos compétences auprès du grand public. » précise Brigitte Prévost – Meslet
Expérience professionnelle
Infirmière puis puéricultrice depuis 1981, elle exerce au sein du Département de Maine et Loire. Elle a occupé successivement le poste d’appui technique pour les infirmières et puéricultrices, puis la fonction d’appui au pilotage et aux missions pour contribuer à faire évoluer les organisations, avec les professionnels et citoyens concernés. Elle a participé à la mise en place d’équipes spécialisées pour les évaluations d’informations préoccupantes. Avec l’équipe médicale, elle a accueilli les mineurs non accompagnés, afin d’évaluer le degré de satisfaction des besoins primaires, dans le cadre de la consultation infirmière puéricultrice. Aujourd’hui, elle a intégré le service PMI, pour exercer le rôle d’évaluatrice des agréments d’assistants familiaux à savoir l’évaluation de structures collectives de type pouponnières et de maisons d’enfants à caractère social ainsi que les visites de conformité avant leur ouverture.
Elle a toujours été engagée dans la vie associative.
Brigitte Prévost – Meslet – Présidente ANPDE. Sébastien Devillers – Aurasi Communication
06 63 43 89 24
sdevil@aurasicommunication.com
retrouvez ici cette charte
Cette charte sera certainement sûrement le vecteur de travaux pour l’association.